La famille, c’est un abri dans la tempête. La famille, c’est la tempête.
À quel moment l’intime dépasse-t-il ses frontières pour devenir œuvre collective ?
À travers l’utilisation de médiums tels que la photographie, l’archive et le texte, Mickael Vis explore la fine ligne qui définit ce qu’il appelle l’équilibre des choses, et invite chacun à interroger le sien.
En mettant à disposition une histoire familiale profondément singulière, il nous amène à questionner les schémas familiaux traditionnels. Son travail devient alors une œuvre politique — une mise en tension des normes, des rôles, des héritages.
Il évoque les tensions entre regard documentaire et esthétique de la disparition, touchant aussi au sacré — celui qui entoure les figures parentales, leur place centrale et symbolique dans notre construction intime.
Oscillant entre récit visuel et recherche plastique, cette exposition propose une traversée des seuils : ceux du visible et de l’oublié, de l’individu et du commun, de l’abri et de la tempête.
Elle ouvre un espace sensible, où chacun est amené à reconsidérer ses propres repères..
À quel moment l’intime dépasse-t-il ses frontières pour devenir œuvre collective ?
À travers l’utilisation de médiums tels que la photographie, l’archive et le texte, Mickael Vis explore la fine ligne qui définit ce qu’il appelle l’équilibre des choses, et invite chacun à interroger le sien.
En mettant à disposition une histoire familiale profondément singulière, il nous amène à questionner les schémas familiaux traditionnels. Son travail devient alors une œuvre politique — une mise en tension des normes, des rôles, des héritages.
Il évoque les tensions entre regard documentaire et esthétique de la disparition, touchant aussi au sacré — celui qui entoure les figures parentales, leur place centrale et symbolique dans notre construction intime.
Oscillant entre récit visuel et recherche plastique, cette exposition propose une traversée des seuils : ceux du visible et de l’oublié, de l’individu et du commun, de l’abri et de la tempête.
Elle ouvre un espace sensible, où chacun est amené à reconsidérer ses propres repères..